samedi 22 octobre 2016
mercredi 19 octobre 2016
samedi 15 octobre 2016
samedi 8 octobre 2016
jeudi 6 octobre 2016
lundi 3 octobre 2016
vendredi 30 septembre 2016
mercredi 28 septembre 2016
mardi 27 septembre 2016
mercredi 21 septembre 2016
mardi 20 septembre 2016
mercredi 14 septembre 2016
samedi 10 septembre 2016
jeudi 8 septembre 2016
dimanche 4 septembre 2016
lundi 29 août 2016
dimanche 28 août 2016
samedi 27 août 2016
jeudi 25 août 2016
vendredi 19 août 2016
lundi 15 août 2016
jeudi 11 août 2016
mardi 9 août 2016
dimanche 7 août 2016
jeudi 4 août 2016
mercredi 3 août 2016
mercredi 27 juillet 2016
samedi 23 juillet 2016
jeudi 14 juillet 2016
jour de promenade à la campagne
Jour
de promenade à la campagne
Aujourd’hui,
c’est jour de promenade à la campagne
La
petite chienne omaha nous suit
Joyeuse,
heureuse, elle court sans arrêt
Et
cherche constamment à s’amuser
Au
sortir d’un chemin boisé, dans un petit pré
Une
fontaine, des murets en pierre, un petit lavoir
Deux
arbres la surplombe, l’ombrageant
Un
ruisseau s’écoule lentement
Comme
les années qui passent
Nos
corps ont vieilli
Quelques
petites fleurs violettes
Sont
apparues au bord du talus
Un
papillon jaune va et vient, pour les butiner
C’est
la renaissance de la nature
L’ordre
des choses
Le
cour de la vie
l'existence
L’existence
tous
les êtres sont les fils et les filles de la nature
Ils
existent et vivent entre le ciel et la terre
Entre
l’océan et le ciel se trouve le point d’horizon
Ou
le soir un soleil rougeoyant illumine son espace de couleurs boréales
Clôturant
une belle journée printanière
Terminant
une page du grand livre de la vie
Ce
soleil se lève à l’aurore
Ouvrant
une nouvelle page
Éclatant
de ses milles couleurs et ombres diffuse, De toute sa splendeur
La
renaissante d’une matinée pleine de promesses
Dans
un univers sans limites, sans temps, sans mensonges
Effaçant
les certitudes de nos anciennes journées
Qui
sont entre le savoir et le non savoir
Entre
notre passé et notre avenir
Ou
seul existe l’instant présent
La
conscience au-delà des limites établies
Des
savoirs et des certitudes imposées
Qui
ne sont que éducation, domestication, soumission et servitudes
Dans
l’espérance d’une vie meilleure,
D’un
autre monde que celui ou nous vivons
D’autres
pensées qui ne sont que pensées, rêves et futilités
Sans
consistance comme ces feuilles mortes
Qui
se détachent de l’arbre, sont balayées,
Dansent
sous l’effet d’une brise légère de l’automne
Qui
annonce l’hiver de nos espérances, de nos vies
la rencontre
La
rencontre
Ils étaient seuls, ont été sensible
À la présence de l’autre, à l’existence de cette inconnue
Lui ou elle, qui ne se connaissaient pas
ont eu le courage de franchir le premier pas
De se parler, de se toucher, de se découvrir
Et leurs cœurs se sont embrasés
Comme l’océan et le ciel
Au premier lever du soleil de l’été
Qui s’élève dans l’azur
Flamboyant de milles et une étincelle
D’ombres et de lumières
L’horizon semblant lointain
Qui pourtant fusionne les contraires
La joie et la tristesse
Des lendemains incertains
La découverte de l’inconnu
Imprégnant toute la nature de son aurore
Déclenchant une symphonie de chants d’oiseaux
D’éclosion de fleurs,
Parées de leurs plus belles apparats
Déployant sur la terre
Une symphonie de couleurs, de senteurs
Révélant aux êtres, une réalité presque inconnue
Qui leur semblaient inaccessible
Embrasant leurs âmes, leurs vies
Pour n’en faire qu’une
l'automne
L’automne
J’aime et j’apprécie cette saison
les gens pensent à la fin de l’été, s’en attristent
Pour ma part l’automne représente une transition
un changement, une suite logique de l’hymne à la vie
Les feuilles se détachent des arbres naturellement
Sans résistance, légères, empreintes de couleurs boisées
Toute la nature se met au repos, à la quiétude
Dans le renoncement de la belle saison
Qui vient de s’écouler, de disparaître
Dans le courant du temps et des nuages
Qui semblent s’enfuir, naviguer vers d’autres horizons
Vers des lumières et couleurs crépusculaires
Les jours raccourcissent, quelques gouttes éparses
Viennent carillonner sur le carreau de ma fenêtre
les oiseaux se préparent pour le grand voyage
Qui les mènera vers d’autres contrées plus clémentes
Les fleurs se fanent, se referment, les jours déclinent,
Annonçant l’hiver, la mise en sommeil de nos passions, de
nos vies
s'enfuir
s’enfuir
Nul
ne sait pourquoi, un jour il prit son barda et s’en alla
Erra,
marcha, marcha à travers les prés fleurit
Les
champs et les collines, sans se retourner
Empreint
d’un désir de liberté, de découverte,
D’une
autre vie, d’un autre monde
Que
la vie est bizarre, un autre, sans aucunes raisons
prit
son voilier et disparut
Se
laissant emporté, au gré des vents, des alizés, des courants
disparaissant
dan s l’horizon incertain
dans
l’océan des aventures, des désirs de conquêtes
De
découvrir d’autres pays
ils
ou elles recherchent tous et toutes
Un
but, un chemin, une raison de vivre
ils
fuient ces vies monotones, sans saveurs, sans éclats
ces
existences sans liens
Un
nouveau jour se lève plein de promesses
Le
soleil éclaire le monde de sa vérité
ils
découvrirent soudain la vérité
rencontrèrent
le but de leur recherchent
de
leurs errances, de leurs solitudes
dans
ce grand silence de l’inconnue
La
terre promise, l’île mystérieuse
Ils
le découvrirent à la croisée du chemin
ce
fut elle tout simplement
comme
si elle les attendait
Ce
qui néantisa toutes leurs illusions
leurs
désirs de liberté
l'amour éternel
L’amour
éternel
Chaque jour est un nouveau jour
Chaque instant est différant
Le printemps annonce la renaissance, le
renouveau
Toutes les choses ont leurs utilités
Toutes vies a sa raison d’exister
les pensées sont éphémères
Seul l’amour est éternel
épaves abandonnées, coeurs délaissée
Épaves
abandonnées, cœurs délaissés
Épaves abandonnées,
cœurs délaissés
Tout n’est plus
que du passé
drapeaux, fanions,
amours en berne
Il ne reste plus que
des souvenirs, des rêves
Des pensées, des
illusions, des projets non aboutis
Des plaies encore
ouvertes, des cicatrices
Mais l’être en
l’avenir
Est toujours emplit
d’attentes, de gratitudes
reste l’amour qui
est toujours là
Comme la rose prête
à éclore
Aux premiers rayons
du soleil du printemps
À
s’épanouir, à s’enflammer
Á
flamboyer à l’aurore d’une nouvelle rencontre
Et pourquoi pas
d’une nouvelle espérance
D’une nouvelle vie
Telle cette fleur
qui s’illumine
De sa couleur
pourpre
Et enivre
l’existence de son parfum
le chêne
Le
chêne
Ils avaient planté un chêne dans le jardin
Il s’est développé, est maintenant majestueux
Il surplombe et ombrage la maison
Un oiseau s’est posé sur une de ses branches
Son chant mélodieux
Enchante ce soir de la fin de l’été
Les jours diminuent et disparaissent au crépuscule
La rivière s’écoule et murmure doucement
L’automne s’approche et arrive à son rythme
Les feuilles se détachent de l’arbre
Le vent s’amuse avec elles
Les faisant virevolter
Tout passe, tout se délite, s’enfuit
Dans le courant du temps
La vie suit son court
Mon âme est triste
la nature et la vie
La
nature et la vie
Toute la nature suit
son rythme, son cour
Comme les rivières,
les nuages, les saisons
Le printemps, l’été,
l’automne, l’hiver
Ne sont que des
changements d’apparences
De cette nature en
constante évolution
Toujours présente,
éphémère, incertaine
Furtive,
insaisissable, incompréhensive
Lunatique,
caractérielle
Et pourtant
tellement attachante
plaisant à vivre,
douce et fragile
Ou l’instant et
l’endroit se rejoignent
Dans le courant du
temps
Ne faisant qu’un,
une éternité
Dans un silence
au-dessus de tous conflits
Un horizon sans
limites ni frontières
Une communion
universelle ou tous les êtres
Dans le désir de
l’un et de l’autre
N’existent que
pour la seule espérance
De leurs esprits et
de leurs cœurs
N’ayant pour seule
inspiration
Que de se fondre, de
s’estomper
Dans la couleur de
l'aimé
mardi 12 juillet 2016
dimanche 12 juin 2016
vendredi 10 juin 2016
mercredi 8 juin 2016
mardi 7 juin 2016
dimanche 5 juin 2016
samedi 4 juin 2016
Inscription à :
Articles (Atom)